La renommée de Yoko Ono permettait d’anticiper l’intérêt du grand public pour une exposition couvrant 50 ans de la carrière de cette artiste associée à l’art conceptuel et à la performance. L’exposition coïncidait également avec un moment charnière de l’institution muséale, qui changeait de nom pour passer de DHC/ART à Fondation Phi.